Le corps, ce chant qui nous anime,
Frissonne de mille allusions ;
La douceur à la joie s’estime
Comme la lèvre à la passion !
Tel muscle aux courbes d’une épaule
Est un poème en mouvement,
Un désir de toucher qui frôleUn libre amour à qui l’on ment !
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Mais la séduction sans limite
Obsède aux formes de ce corps…
Un torse velu dit bien vite
Qu’on y respire et qu’on y mord,En dessinant un rêve trouble
De parfums et de sentiments,
De sensations qui se dédoublent
En rose-miroir des amants !
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S Sleigh |
PS : les deux premiers tableaux sont des collages numériques : JL Garac
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