L’Eglise Catholique s’est construite sur deux piliers principaux : la haine du corps et le dolorisme. Chose surprenante on ne retrouve pas, selon moi, ces goûts morbides dans les Evangiles ou Jésus apparaît proche du peuple et des personnes qu’on pourrait qualifier de « marginales » selon les critères bourgeois ! Il semble préfèrer dîner avec les hommes et femmes « branchés » de son époque plutôt que d’écouter les « sépulchres blanchis » qu’il dénonce et qui représentent la bonne société toujours prête à lapider, honnir et juger de façon hypocrite ceux qui osent braver les postures convenues...
Malgré Vatican II, l’Eglise n’est pas sortie de ce sillon qui ressemble plus à une tranchée tragique de la guerre de 14 qu’à une ligne morale compatible avec le référent essentiel qui est Jésus, référent primordial et curieusement abandonné au profit des Paul, Augustin, Thomas, et j’en oublie, qui forment la cohorte des docteurs Diafoirus de l’Eglise...
Pourfendre la chair, pousser les hommes et les femmes à renier leur corps, est l’objectif sans cesse renouvelé des prélats en habits rouge ou blanc qui président à la destinée de cette secte florissante. Longtemps cette spiritualité morbide a recherché la mort ou la souffrance comme les premiers "martyres" de l’Eglise ou tant de "Saints" et de "Saintes" à travers son histoire...
D’autres philosophies à travers le monde on su trouver une harmonie entre corps et esprit. Avec le catholicisme s’est instauré un malaise constant, absurde et illogique, entre esprit et corps, pourtant l’un ne va pas sans l’autre sur cette terre... Lorsque nous serons de purs esprits, il me semble qu’il sera bien temps de se comporter comme de purs esprits ! Il paraît en effet hautement ridicule et malsain d’être autre chose que ce que l’on est d’abord, c’est à dire des hommes et des femmes façonnés dans la terre et pour la terre. A chaque « passage » suffit sa peine, si j’ose dire, nous connaissons le monde matériel aujourd’hui, ne sautons pas les étapes celui d’après viendra suffisamment vite, s’il existe...
Malgré Vatican II, l’Eglise n’est pas sortie de ce sillon qui ressemble plus à une tranchée tragique de la guerre de 14 qu’à une ligne morale compatible avec le référent essentiel qui est Jésus, référent primordial et curieusement abandonné au profit des Paul, Augustin, Thomas, et j’en oublie, qui forment la cohorte des docteurs Diafoirus de l’Eglise...
Pourfendre la chair, pousser les hommes et les femmes à renier leur corps, est l’objectif sans cesse renouvelé des prélats en habits rouge ou blanc qui président à la destinée de cette secte florissante. Longtemps cette spiritualité morbide a recherché la mort ou la souffrance comme les premiers "martyres" de l’Eglise ou tant de "Saints" et de "Saintes" à travers son histoire...
D’autres philosophies à travers le monde on su trouver une harmonie entre corps et esprit. Avec le catholicisme s’est instauré un malaise constant, absurde et illogique, entre esprit et corps, pourtant l’un ne va pas sans l’autre sur cette terre... Lorsque nous serons de purs esprits, il me semble qu’il sera bien temps de se comporter comme de purs esprits ! Il paraît en effet hautement ridicule et malsain d’être autre chose que ce que l’on est d’abord, c’est à dire des hommes et des femmes façonnés dans la terre et pour la terre. A chaque « passage » suffit sa peine, si j’ose dire, nous connaissons le monde matériel aujourd’hui, ne sautons pas les étapes celui d’après viendra suffisamment vite, s’il existe...
Les homosexuels qui prônent simplement l’épanouissement de chacun dans sa sexualité et dans le respect de la sensibilité que la Nature ou Dieu nous a donné, sont vivement combattus ! Mais l’Eglise ne s’arrête pas là, et sont vivement combattus de même : la contraception pour les femmes, à l’intérieur ou à l’extérieur du couple, l’avortement, avec l’illustration ahurissante de l’excommunication de cette petite fille brésilienne de neuf ans violée et enceinte (et qui a avorté), et le préservatif avec le consternant leitmotiv de sa condamnation ! Peut-on imaginer la situation en Afrique, continent ravagé par le Sida depuis des lustres et où l’accès aux soins n’est possible que pour un quart des individus...
Le dolorisme du XXI°siècle c’est donc de dire aux gens : allez et contaminez-vous ! Multipliez les souffrances inutiles, les contorsions du corps et de l’esprit, quand la morale devient quotidiennement une couleuvre à avaler ! Décidément, après l’intransigeance maladive de JP II, et les hypocrisies précédentes, Benoit 16 est en passe de devenir le premier Pape Bareback de l’histoire !
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