GERICAULT |
Ier Poème
De la fin des cheveux
À l’arrondi d’épaule,
C’est tout le monopole
D’un attrait mystérieux !
Piste d’atterrissage
Des baisers les plus sages
Jusques aux plus fougueux,
On en fait plus de deux...
Et l’on va du visage
Au cou voluptueux !
SARGENT |
Là, entre nombril et sexe,
Parfois très poilu ou non,
Oubliée telle une annexe !
C’est pourtant un seuil d’enfer
Où le frisson naît superbe :
Serpent ondulant sur l’herbe
Et qui ne manque pas d’air…
Le baiser et la caresse
Y sont tentés en aimant,
C’est le repos de l’amant
Après les grandes prouesses,
Ou la douceur du soleil
Qu'un désir sans fin annonce,
Quand la première réponse
Love ton corps à l'éveil.
ALLORI |
Fessu comme un bonheur!
Globes des créatures,
L'admiration murmure
L'indiscible ferveur
Qui fait de votre fleur
La plus ronde des roses!
Et les regards s'y posent
Sérieux ou gouailleurs...
C'est un champ de caresses,
C'est un tout absolu,
L'on y revient sans cesse
A chaque coin de rue...
Jean-Louis Garac, 2011.
TSAROUCHIS |
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire